Les Nouvelles traductions classiques

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L’art n’a pas à être moral, l’artiste n’a pas à s’occuper des conséquences sociales de son chemin vers le beau.

Oscar Wilde y laissera la vie. Aura de scandale qui le poursuit toujours.

Publié en 1891 dans le Lippincott’s Monthly Magazine, c’est une version épurée par la morale d’époque qui paraît en roman, et qui sera traduite en français dès 1895. Il était temps de rebattre les cartes et de présenter le livre en français dans sa version originale, avant les coupes subies par le roman – le monde anglophone a fait aussi cette révision. L’occasion pour Christine Jeanney de reprendre entièrement un récit universel, et l’aiguiser pour la langue d’aujourd’hui, en exclusivité pour publie.net.

Laissez le vent souffler ; laissez le pavot se semer lui-même et l’œillet s’accoupler avec le chou. Laissez l’hirondelle construire son nid dans le salon, le chardon jaillir du carrelage, le papillon profiter au soleil du tissu fané du fauteuil. Laissez les débris de verre et de porcelaine dormir sur le gazon, et qu’ils s’entortillent d’herbes et de ronces.

Kew Gardens Le temps passe Une maison hantée La Marque sur le mur Lundi ou mardi Un roman non écrit Le Symbole La Ville d’eau

Huit nouvelles comme autant de facettes de Virginia Woolf, proposées ici dans une nouvelle traduction de Christine Jeanney, aux éditions publie.net

« Voici LA BALLADE DU VIEUX MARIN telle que l’a écrite Samuel Taylor Coleridge. Elle raconte l’histoire étrange d’un navire, d’un équipage et d’un marin qui s’est passée dans les mers froides du Sud et chaudes du Pacifique. Une histoire que chacun entendra à sa façon et qui commence sur un chemin où trois jeunes gens s’en vont à la noce. »

Traduction Patrick Calais. Postface de Michel Volkovitch.

Écoutez la lecture qu’en fait Bernard Régnier en cliquant ici.

Dans cette dernière pièce qu’Euripide consacre à Dionysos, dans la « modernité » voulue de l’œuvre s’affirme l’homologie entre l’expérience dionysiaque et la représentation tragique. Si le drame des Bacchantes révèle, à travers l’épiphanie de Dionysos, la dimension tragique de la vie humaine, il fait aussi, en « purifiant » cette terreur et cette pitié que provoque l’imitation sur scène des actions divines, briller aux yeux de tous les spectateurs le ganos, l’éclat joyeux et brillant de l’art, de la fête, du jeu : ce ganos que Dionysos a le privilège de dispenser ici-bas et qui, comme un rayon venu d’ailleurs, transfigure le morne paysage de l’existence quotidienne.